"On critiquait la dominance de Serena Williams. Alors que maintenant ..."

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Dans une interview, Kim Clijsters a commenté le fait que le WTA Tour n’ait pas clairement de joueuse dominante. L'ancienne n. 1 mondial belge estime que le niveau reste élevé. "Il y a des noms qui ne sont évidemment plus là, mais ce que j´aime voir, c´est que peu importe la suite, si Serena Williams doit jouer, si Maria Sharapova doit jouer, quelques jeunes se lèvent quand même.

C´est agréable à voir, ce n´est pas si prévisible. Il y a toujours des gens qui critiquaient, vous savez. Quand Serena dominait, les gens se plaignaient du genre : ‘Oh non, Serena gagne encore et encore’.

Ils n´aimaient pas ça. Mais lorsque vous n’avez pas de joueuse dominante, ça devient : Peut-être avons-nous besoin d’une joueuse dominante. C´est toujours comme ça mais j´aime le fait d’aller à des tournois et d’être curieuse de voir.

[Je me dis] Oh c´est le tirage au sort et cette joueuse peut peut-être battre cette autre joueuse, nous verrons qui sera la meilleure pendant tout le tournoi et la personne qui tiendra le trophée à la fin de la semaine." Lorsqu´on lui a demandé si elle travaillait comme commentatrice à la télévision, Clijsters a répondu : "Un peu.

J´ai commencé à le faire en 2017 pour la BBC. J´ai travaillé avec John McEnroe à Wimbledon et ce fut une superbe expérience. J´ai beaucoup appris". Quelles sont ses priorités maintenant? "De toute évidence, ma famille est ma priorité, mais j´aime toujours jouer au tennis.

J´ai une académie, je continue donc à jouer au tennis tous les jours et je vois des élèves de quatre ans à Elise Mertens. C´est agréable de voir cette combinaison", a conclu Clijsters.