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Pour Roger Federer, ce n’était pas un lundi comme les autres. Suite au 6ème triomphe à l’Open d’Australie contre Marin Cilic, une fois la fête avec sa famille et les amis terminée, le Suisse s'est à nouveau replongé dans l'actualité avec les journalistes histoire d'offrir un éclairage sur les étapes à suivre.
En dehors de son 20ème succès en Grand Chelem, le sujet du jour était sa participation… au tournoi de Dubai, prévu à partir du 26 février. Les médias s'intérrogent effectivement à propos d'une éventuelle wild card que le Maestro pourrait demander aux organisateurs de l’événement dans les Emirats Arabes Unis ; le n.2 mondial, censé rentrer en Suisse ce mardi, a avoué quant à lui qu’il s'agit d’une idée envisageable, compte tenu aussi de l’écart très serré qui le sépare désormais de Rafael Nadal et du somment du classement Atp.
Roger pourrait en effet reconquérir le trône au cas où l’Espagnol, frappé par une blessure au muscle Psoas au cours des quarts de finale face à Cilic, ne se qualifierait en demi-finale au tournoi d’Acapulco (Mexique).
“On en a déjà parlé, mais nous étions à la veille de l’Open d’Australie et j’ai donc préféré reporter la décision”, a expliqué Federer, “A ce moment-là je ne savais pas si je disputerais tous les sept matches à 5 sets ou encore si j’aurais un problème physique.
Maintenant la situation est claire et devrai aussi trancher par rapport à la saison sur terre battue. Toutes ces choses sont liées entre elles. Il est possible que je participe à des tournois ou même que je n'en dispute aucun. On va voir. Je vais prendre une décision d’ici la semaine prochaine”.