Google News L'avocat de Novak Djokovic confiant que le Serbe participera à l'OA
by SARAH AIT SALAH | LECTURES 1613
L'avocat Justin Quill s'attend à ce qu'une injonction interlocutoire soit accordée dans l'affaire Novak Djokovic et que le numéro un mondial soit autorisé à jouer l'Open d'Australie. Djokovic a été détenu pendant neuf heures après avoir atterri en Australie et a finalement appris que son visa était annulé.
Djokovic a fait appel de la décision et il est maintenant isolé dans une chambre d'hôtel et attend la décision du tribunal. Je soupçonne que le juge va dire : "Je vais accorder une injonction interlocutoire, c'est-à-dire une injonction temporaire, pour arrêter l'expulsion, et ensuite je vais examiner cette affaire comme il se doit", a déclaré Quill à Tony Jones, qui remplaçait Neil Mitchell.
"Les roues de la justice ne tournent pas rapidement, nous le savons". Cela ne signifie pas nécessairement qu'il va gagner l'affaire". Mais qu'il s'attend à ce que l'affaire soit résolue en faveur de Djokovic.
Novak Djokovic en attente de son appel
"En général, les parties... résolvent l'affaire et c'est tout", a déclaré M. Quill. Le Premier ministre australien a pris la parole sur Twitter pour confirmer l'annulation du visa de Djokovic.
"Le visa de Djokovic a été annulé. Les règles sont les règles, surtout lorsqu'il s'agit de nos frontières. Personne n'est au-dessus de ces règles. Nos politiques frontalières rigoureuses ont été essentielles pour que l'Australie ait l'un des taux de mortalité les plus bas au monde pour la COVID, nous continuons à être vigilants", a tweeté M.
Morrison. Le père de Djokovic, Srdjan, n'est pas resté silencieux et a riposté à Morrison et aux autorités australiennes. "Jésus a été crucifié sur la croix, et tout lui a été fait, mais il est vivant parmi nous, même maintenant.
Maintenant Novak est crucifié, ils lui font tout", a déclaré Srdjan, selon Gaspar Ribeiro Lanca. "Le dirigeant de ce pays lointain, Scott Morrison... a osé attaquer Novak et l'expulser avant qu'il n'ait atteint leur pays. Ils avaient voulu le mettre à genoux, et pas seulement lui, mais notre belle Serbie."