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L’une des gandes surprises de l'actuelle édition féminine de l'US Open est certainement Leylah Fernadez, née en 2002 et actuelle numéro 73 du classement mondial WTA. La Montréalaise de 19 ans (depuis le 6 septembre), qui n’avait jamais atteint le troisième tour des tournois du Grand Chelem, a battu Ana Konjuh, Kaia Kanepi, Naomi Osaka, Angelique Kerber, Elina Svitolina, puis la Biélorusse Aryna Sabalenka pour se rendre en finale.
Interviewée après son match contre Svitolina, la jeune Canadienne a déclaré : "C'était l'un des matchs les plus difficiles que j'ai joué, non seulement en termes de tennis mais aussi mentalement.
Svitolina est l'une des meilleures joueuses sur le Tour et une grande combattante. J'ai été très heureuse de me battre avec elle dans le premier set et de pouvoir le gagner. Ensuite, dans le second, elle a un peu plus élevé le niveau et malheureusement j'ai fait des erreurs dans les moments clés", a expliqué Leylah, selon des propos rapportés par Punto de Break.
Leylah Fernandez : C'est comme ça que je gère la pression
'Dans le troisième set, j'ai récupéré et joué un bon tie-break. J'ai eu un peu de chance dans certaines étapes, mais je suis heureuse d'être en demi-finale et d'avoir franchi une nouvelle étape dans cet US Open.'
. Leylah a aussi fait des commentaires au sujet de la façon de gérer la pression. "C’est une chose à laquelle je me suis préparée dès mon plus jeune âge, en concourant sur les parcours les plus importants du monde devant mes parents.
Je détestais faire des discours en classe, mais quand venait le temps d'organiser une pièce de théâtre, de danser et de chanter, je m’amusais beaucoup parce que j'aimais le faire devant tout le monde.
Il y a des gens qui ont honte dans ce genre de situation et qui ne sont pas du tout à l'aise. Pour moi, c'est le contraire", a-t-elle fait remarquer. A propos de son incroyable séquence de victoires à Flushing Meadows, Leylah a conclu : "Les premiers jours ont été très compliqués.
Comme je l'ai dit plus tôt, j'ai vraiment eu la chance d'avoir une belle équipe autour de moi. Maintenant je m'y habitue un peu. Mon équipe m'aide à garder mon équilibre et à ne penser qu'au prochain match."